Equiano Light est une version plus légère de l’Equiano Original. Le principe reste le même, puisqu’il s’agit toujours d’un assemblage réunissant l’Afrique et les Caraïbes. Les distilleries impliquées sont également les mêmes, avec Gray’s pour l’Île Maurice et Foursquare pour la Barbade. La grande différence, en revanche, réside dans les composants de cet assemblage :
La partie Foursquare est constituée d’un rhum de mélasse légèrement vieilli cette fois, mais surtout, Gray’s est désormais représentée par un rhum blanc issu de pur jus de canne !
Ce rhum s’adresse davantage à la mixologie et aux cocktails. Les créateurs de la marque, Ian Burrell et Richard Seale, reversent toujours 2$ par bouteille ainsi que 5 % des bénéfices annuels à des associations luttant contre l’esclavage moderne.
La note de dégustation de Nico
Le nez présente un caractère très léger, finement fruité et floral. Comme un sirop de sucre de canne légèrement acidulé, il est à la fois moelleux et quelque peu végétal.
Avec l’aération, ce caractère végétal vient se déposer sur les bords du verre, et prend la consistance d’une poignée de foin ou de paille. À cœur, le rhum est alors résolument fruité et tendre, comme un bonbon légèrement acidulé et vanillé.
En bouche, le profil aromatique se tourne désormais vers un jus de canne léger et délicat, aux nuances de sucre roux. Un caractère doucement végétal se dégage, légèrement enrobé de vanille et de bois toasté.
La finale est légère, et le chêne grillé amène une subtile note torréfiée.
« Un rhum plutôt léger qui propose de délicates saveurs de pur jus de canne… »
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